1 Maggio 2025

Dos pasos en la historia del Encuentro Mundial de las Familias

«¡Queridos hermanos y hermanas, que vinieron de cien países diferentes para esta importante cita con motivo del Año de la Familia! ¡Gracia a vosotros y paz de Dios, Padre Nuestro! ». Era el sábado 8 de octubre de 1994 cuando el Papa Juan Pablo II saludó a los participantes del primer Encuentro Mundial de las Familias en la Plaza de San Pedro. Ese año había sido proclamado por la ONU como “Año Internacional de la Familia”, y el pontífice polaco quería que se celebrara simultáneamente un “Año de la Familia” en la Iglesia. Entre las iniciativas, estaba el Encuentro Mundial, que tuvo lugar en Roma los días 8 y 9 de octubre. Fue organizado, como ocurrió para los siguientes, por el Pontificio Consejo para la Familia (hoy Dicasterio para los Laicos, la Familia y la Vida). El tema fue “Familia: corazón de la civilización del amor”.

La tradición continuaría cada tres años y tocaría varias ciudades del mundo. De hecho, en 1997, precisamente el 4 y 5 de octubre, fue el turno de Río de Janeiro, que fue sede de la segunda reunión mundial sobre “La familia: don y compromiso, esperanza de la humanidad”.

Tres años más tarde, en el contexto del Gran Jubileo de 2000, la Ciudad Eterna vuelve a recibir a familias de todo el mundo: el 14 y 15 de octubre se celebra el tercer encuentro mundial de familias, dedicado a “Niños, primavera de familia y sociedad”.
Tres años después, en 2003, Juan Pablo II no pudo estar físicamente presente en la cuarta reunión, que tuvo lugar los días 25 y 26 de enero en Manila, y participó a través de una conexión de televisión. “Estoy con ustedes con pensamiento y oración, amo a las familias de Filipinas y de muchas regiones de la tierra”, dice a los participantes llamados a reflexionar sobre “La familia cristiana: buenas noticias para el tercer milenio”.

El quinto Encuentro Mundial de las Familias se celebra en Valencia los días 8 y 9 de julio de 2006, pero el primero en el que interviene el Papa Benedicto XVI; “Transmisión de la fe en la familia” es el tema. Los días 17 y 18 de enero de 2009, la reunión tuvo lugar en la Ciudad de México, sobre “La familia, un entrenador de valores humanos y cristianos”, pero el Santo Padre participa a través de la trasmisión televisiva. En cambio, estará presente en 2012 en Milán, los días 2 y 3 de junio, para “La familia – Trabajo y fiesta”.

En 2015, los días 26 y 27 de septiembre en Filadelfia, está programada la sexta Reunión Mundial de Familias, titulada “El amor es nuestra misión, la familia completamente viva”; es el primero en el que participa el papa Francisco.

El noveno Encuentro Mundial tendrá lugar en Dublín, del 22 al 26 de agosto de 2018, sobre el tema elegido por el Papa “El Evangelio de la familia: alegría para el mundo”, en el contexto de la exhortación apostólica post-sinodal “Amoris Laetitia”, coordinada por el nuevo Dicasterio para Laicos, Familia y Vida, presidida por el cardenal Kevin Farrell.

L’amour familial: vocation et chemin de sainteté

Le thème de la prochaine Rencontre mondiale des familles, qui se tiendra à Rome en juin 2022, est: L’amour familial: vocation et chemin de sainteté». «À cinq ans de la publication de l’exhortation apostolique Amoris Laetitia et trois ans après la promulgation de Gaudete et Exsultate – peut-on lire dans un communiqué du dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, diffusé par la salle de presse vaticane -, l’événement veut mettre en évidence l’amour familial comme vocation et chemin de sainteté, afin de mieux comprendre et partager le sens profond et salvifique des relations familiales de la vie quotidienne».

La rencontre sera organisée par le diocèse de Rome et le Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie et aura lieu six ans après la publication de Amoris Laetitia et quatre ans après celle de Gaudete et Exultate.

En façonnant l’expérience concrète de l’amour le mariage et la famille manifestent la grande valeur des relations humaines, dans le partage des joies et des combats, dans le déroulement de la vie quotidienne, en orientant les personnes vers la rencontre avec Dieu. Lorsque ce cheminement est vécu avec fidélité et persévérance , il renforce l’amour et réalise la vocation à la sainteté à laquelle tous sont appelés, qui se concrétise dans les relations conjugales et familiales. Ainsi comprise, la vie familiale chrétienne est une vocation et un chemin de sainteté, une expression du “plus beau visage de l’Église” (Gaudete et Exsultate 9)».

La Rencontre mondiale des familles de Rome reportée en 2022

Comme annoncé dans le Bulletin de la Salle de presse du Saint Siège du 10 avril dernier, «au vu de l’actuelle situation sanitaire et de ses conséquences sur les déplacements et les rassemblements de jeunes et de familles, le Saint-Père et le Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie, ont décidé de reporter d’une année la prochaine Rencontre Mondiale des Familles, initialement prévue à Rome en juin 2021 elle aura lieu en juin 2022». La Journée mondiale de la Jeunesse est également reportée.

Les familles se rencontreront à Rome en juin 2022 au lieu de juin 2021. Le Cardinal Kevin Joseph Farrell, préfet du Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie explique les raisons de ce report dans une interview à Vatican News :
R – Ces deux rendez-vous sont deux sont deux événements internationaux, donc dans la situation où nous nous trouvons actuellement, il est très difficile de savoir ce que sera notre vie après cette pandémie. La Rencontre mondiale des familles était prévue pour le mois de juin de l’année prochaine, mais il fallait maintenant bien sûr faire avancer toutes les questions d’organisation et de logistique pour préparer cet événement. Cependant, nous ne savons pas encore quelle sera la situation économique, ni la situation des personnes et des familles l’année prochaine, et il n’est pas sûr que beaucoup de personnes viendront de l’étranger à Rome pour cet événement l’année prochaine.

C’est pourquoi le Saint-Père et nous, au Dicastère, après avoir consulté les personnes du Vicariat de Rome et nos contacts au Portugal, nous avons pensé que le mieux serait d’attendre un an avant de commencer ces événements internationaux. Il a donc été décidé que le rendez-vous avec les familles serait en 2022 à Rome et en 2023 pour les jeunes à Lisbonne. Il y a de l’inquiétude concernant le futur. Nous espérons que nous pourrons revenir à la normalité de notre vie quotidienne, mais ceci n’est pas réaliste à court terme. Je crois que beaucoup de gens pensent qu’il faudra au moins deux ou trois ans pour que nous revenions à la normale.

Ces réunions internationales offrent la possibilité à un nombre important de personnes de se déplacer et de voyager. Nous ne savons pas quelles seront les perspectives d’avenir : comment comptez-vous vous y prendre?

R. – Presque tous les diocèses du monde organisent des événements dans leur propre pays et il existe des rencontres pour les familles et les jeunes. Nous continuons à travailler pour aider tous les évêques à promouvoir la vie familiale et à travailler avec les jeunes dans les diocèses. Nous espérons que nous aurons toujours ces réunions internationales mondiales, mais comme je l’ai dit, il est irréaliste de penser que les gens pourront voyager dans les deux prochaines années. Notre travail n’est pas seulement d’organiser ces deux événements, il y a aussi le travail quotidien que nous devons faire pour continuer à promouvoir la vie familiale et aussi la vie chrétienne et la jeunesse.

Le confinement que nous connaissons dans tant de pays du monde entier nous invite à nous pencher sur l’essentiel et sur la centralité de la famille. Quelles leçons pouvons-nous tirer de cette situation?

R – Je crois que chaque jour, le Pape a donné un message à tous les peuples du monde : la famille est le lieu central de notre vie, elle nous apprend beaucoup. L’obligation que nous avons de vivre à cette époque de manière si unie dans la famille nous apprend beaucoup de choses, comme le fait de vivre sans égoïsme. Ce que nous vivons aujourd’hui est une opportunité que le Seigneur nous donne pour apprendre à laisser l’égoïsme de côté, à voir chaque personne comme un frère ou une sœur. Une chose que nous pouvons apprendre de nos jours est que la famille est aussi un lieu où nous pouvons apprendre à nous connaître ; il y a tellement de choses dans la vie de chacun d’entre nous chaque jour que nous ne voyons parfois pas les besoins des gens qui nous entourent, parce que nous sommes si préoccupés par nous-mêmes. C’est alors le moment d’apprendre à laisser l’égoïsme hors de nos vies et à se soucier de regarder les autres.

Rome 2022 : la signature de l’accord entre le Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie et le Diocèse de Rome

Le Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie et le Diocese de Rome unis pour organiser la Rencontre mondiale des familles, qui aura lieu à Rome en juin 2022. Ce matin, lundi 24 juin, dans la salle des Empereurs du Palais du Vicariat, le cardinal Kevin Joseph Farrell, préfet du Dicastère, e le cardinal vicaire Angelo De Donatis, ont signé un accord qui prévoit un partage des tâches entre les deux entités, le diocèse s’occupera de la logistique, de la communication, de l’accueil et de la sensibilisation pastorale.

«Je souhaite que cet événement extraordinaire ne soit pas un événement momentané, une réalité éphémère – a déclaré le cardinal De Donatis -, mais un point de départ pour servir les nombreuses familles vivant à Rome plus efficacement et avec plus d’attention et qui, pour beaucoup, se retrouvent dans des situations de souffrance et de misère ». Un malaise, poursuit le cardinal, qui “ne vient pas seulement des difficultés économiques, et nous vérifions chaque jour que la pauvreté des familles provient avant tout de la fragilité culturelle, de la crise des valeurs et du manque d’identité et de racines solides, comme nous le dit souvent le Pape».

«Je suis heureux que cet événement ait lieu à Rome», a déclaré le cardinal Farrell en souhaitant que la Rencontre et déjà cette période de de préparation puissent donner «une plus grande impulsion à la préparation au mariage».

L’histoire de la Rencontre mondiale des familles

«Très chers frères et sœurs, venus d’une centaine de pays différents pour cet important rendez-vous à l’occasion de l’Année de la Famille! Grâce à vous et paix de Dieu, Notre Père!». C’était le 8 octobre 1994, un samedi, et le Pape Jean-Paul II saluait ainsi, sur la place Saint Pierre, les participants à la première Rencontre mondiale des familles. Cette année avait été proclamée par l’Onu «Année Internationale de la Famille» et la Pape polonais avait voulu qu’une «Année de la Famille» soit célébrée simultanément dans l’Église. Parmi les initiatives, il y avait celle de la Rencontre mondiale, qui eut lieu à Rome les 8 et 9 octobre. Organisée – comme les suivantes – par le Conseil Pontifical pour la Famille (aujourd’hui Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie). Le thème était «Famille: cœur de la civilisation de l’amour».

La tradition se perpétue alors tous les trois ans, dans différentes villes du monde. En 1997, précisément les 4 et 5 octobre, c’est Rio de Janeiro qui accueille la deuxième Rencontre mondiale sur “La famille : don et engagement, espérance de l’humanité». Trois ans plus tard, dans le cadre du grand jubilé de l’an 2000, c’est à nouveau la Ville Éternelle qui accueille des familles provenant du monde entier : les 14 et 15 octobre a lieu la troisième Rencontre mondiale des familles, dédiée aux « Enfants, printemps de la famille et de la société».

Trois ans après, en 2003, Jean-Paul II ne réussit pas à être physiquement présent à la quatrième Rencontre qui a lieu les 25 et 26 janvier à Manille et y participe via une connexion télévisée. «Je suis avec vous par la pensée et la prière, familles bien-aimées des Philippines et de nombreuses régions de la terre» dit-il aux participants appelés à réfléchir sur «La Famille chrétienne: une bonne nouvelle pour le troisième millénaire».

Les 8 et 9 juillet 2006, à Valence, a lieu la cinquième Rencontre mondiale des familles, mais c’est la première à laquelle participe le Pape Benoît XVI; «Transmission de la foi dans la famille» en est le thème. Les 17 et 18 janvier 2009, la Rencontre a lieu à Mexico, sur «La famille, éducatrice aux valeurs humaines et chrétiennes», mais le Saint-Père participe via connexion télévisée. Il sera, en revanche, présent en 2012 à milan, les 2 et 3 juin pour «La famille – le travail et la fête».

En 2015, les 26 et 27 septembre à Philadelphie, la sixième Rencontre mondiale des familles est intitulée «L’amour est notre mission, la famille pleinement vivante», c’est la première rencontre à laquelle participe le Pape François.

La neuvième Rencontre Mondiale a eu lieu à Dublin, du 22 au 26 août 2018 sur le thème choisi par le Pape «l’Évangile de la famille: joie pour le monde», dans le contexte de l’exhortation apostolique post-synodale Amoris Laetitia, organisée par le nouveau Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie, présidé par le cardinal Kevin Farrell.

Amor em família: vocação e caminho de santidade

O tema do próximo Encontro Mundial das Famílias, agendado em Roma para junho de 2022, é: “Amor em família: vocação e caminho de santidade”. “No quinto aniversário da exortação apostólica Amoris Laetitia e três anos após a promulgação da Gaudete et exsultate – lê-se em uma declaração do Dicastério para os Leigos, a Família e a Vida, emitida pela Sala de Imprensa do Vaticano – se pretende destacar o amor da família como vocação e caminho de santidade, para entender e compartilhar o significado profundo e salvífico das relações familiares na vida cotidiana “.

O encontro será organizado pela Diocese de Roma e pelo Dicastério para os Leigos, a Família e a Vida e será realizado no sexto aniversário da Amoris Laetitia e quatro anos da Gaudete et Exsultate.

Ao dar forma à experiência concreta do amor: “o matrimônio e a família manifestam o alto valor das relações humanas, no compartilhamento de alegrias e esforços, no desenvolvimento da vida cotidiana, direcionando as pessoas a encontrar-se com Deus”. Este caminho, quando vivido com fidelidade e perseverança, fortalece o amor – e realiza aquela vocação à santidade, própria de cada pessoa, que se concretiza nas relações conjugais e familiares. Nesse sentido, a vida familiar cristã é uma vocação e um caminho de santidade, uma expressão do “rosto mais belo da Igreja” (Gaudete et Exsultate 9)».

O Encontro Mundial das Famílias em Roma adiado para 2022

Conforme relatado no Boletim da Sala de Imprensa da Santa Sé, no dia 10 de abril de 2020, “devido à atual situação sanitária e as suas consequências nas viagens e na locomoção de jovens e famílias, o Santo Padre, juntamente com o Dicastério para os Leigos, a Família e a Vida, decidiu adiar o próximo Encontro Mundial das Famílias por um ano, agendado em Roma em junho de 2021 para junho de 2022”. A Jornada Mundial da Juventude também foi adiada.

As famílias se encontrarão em Roma em junho de 2022, e não em 2021. O Cardeal Kevin Joseph Farrell, prefeito do Dicastério para os Leigos, a Família e a Vida, explica detalhadamente as razões desse adiamento em uma entrevista dada ao Vatican News:

R. – Estes eventos são dois eventos internacionais; por isso na situação em que nos encontramos no momento, é muito difícil saber como será nossa vida depois da pandemia. O Encontro Mundial das Famílias estava marcado para junho do ano que vem, mas sabemos que as questões organizativas e logísticas devem ser encaminhadas bem antes. Hoje, não temos a certeza de como será a situação econômica e a situação das pessoas e famílias e não é possível dar a certeza da presença em Roma para este evento em junho de 2021. Assim, o Santo Padre e nós do Dicastério, depois de consultar as pessoas do Vicariato aqui em Roma e os representantes de Portugal, decidimos que seria melhor esperar mais um ano antes de iniciar estes eventos internacionais. Portanto, o encontro das famílias será em 2022 em Roma e o dos jovens em Lisboa em 2023. Há muita preocupação pelo futuro. Esperamos poder voltar à normalidade da nossa vida de todos os dias, mas isso não é realismo. Muitas pessoas pensam que será preciso dois ou três anos para que tudo volte ao normal.

Estes eventos internacionais significam muitas pessoas se deslocando e viajando. Não sabemos quais são as perspectivas para o futuro: como vocês estão pensando em organizar?

R. – Quase todas as dioceses do mundo organizam eventos na própria nação com encontros para as famílias e os jovens. Nós continuamos a trabalhar para ajudar todos os bispos a promoverem nas suas dioceses a vida familiar e o trabalho com os jovens. Esperamos que estes encontros internacionais se possam fazer sempre, mas como eu disse, não é realístico pensar que as pessoas possam viajar nos próximos dois anos. O nosso trabalho não é apenas organizar estes dois eventos, há também o trabalho de todos os dias que devemos fazer para continuar a promover a vida familiar, assim como a vida cristã e dos jovens.

O lockdown que estamos vivendo em muitos países do mundo nos convida a olhar ao essencial e a centralidade da família. Quais ensinamentos podemos obter com esta situação?

R. – Todos os dias o Papa deu uma mensagem a todas as pessoas do mundo: a família é o lugar central da nossa vida, nos ensina muito. A obrigação que temos de viver nestes dias tão unidos em família, nos ensina muitas coisas, como por exemplo, viver sem egoísmo. O que vivemos nestes dias é uma oportunidade que o Senhor nos dá para aprender a deixar o egoísmo de lado e ver cada pessoa como um irmão ou uma irmã. Podemos aprender que a família é também um lugar onde podemos nos conhecer. Há tantas coisas na vida de cada um de nós, diariamente, que não conseguimos ver a necessidade das pessoas que temos ao nosso lado, porque estamos muito preocupados com nós mesmos. Então é um momento de aprender a deixar o egoísmo fora da nossa vida e nos preocuparmos em olhar para os outros.

Roma 2022: a assinatura do acordo entre o Dicastério para os Leigos, a Família e a Vida e a Diocese de Roma

O Dicastério para os Leigos, a Família e a Vida e a Diocese de Roma estão unidos na organização do Encontro Mundial das Famílias, que acontecerá em Roma em junho de 2022. Esta manhã, segunda-feira 24 de junho, na Sala dos Imperadores do Palácio do Vicariato, O Cardeal Kevin Joseph Farrell, prefeito do Dicastério do Vaticano, e o Cardeal Vigário Angelo De Donatis, assinaram o acordo que prevê a divisão de tarefas entre as duas realidades, com a Diocese envolvida na logística, comunicação, acolhida e conscientização pastoral.

“Desejo que este evento extraordinário não seja um evento momentâneo, uma realidade passageira – disse o Cardeal De Donatis -, mas um ponto de partida para servir com mais eficácia e com maior atenção as muitas famílias que vivem em Roma e que, em grande número, encontram-se em situações de sofrimento e dificuldade». Preocupação, continua o Cardeal, que “não se originou apenas pelas dificuldades econômicas, de fato todos os dias verificamos que a pobreza das famílias nasce sobretudo da fragilidade cultural, dos valores que estão em crise, da falta de identidade e raízes sólidas, como costuma nos dizer o Papa”.

“Fico contente que Roma tenha que organizar este evento”, disse o Cardeal Farrell, esperando que o Encontro e esse período preparatório já possam “dar um impulso maior à preparação para o matrimonio”.

Dois passos na história do Encontro Mundial das Famílias

“Queridos irmãos e irmãs, que vieram de cem países diferentes para este importante encontro na ocasião do Ano da Família! A vós a graça e paz de Deus, Pai Nosso!». Era dia 8 de outubro de 1994, sábado, e o Papa João Paulo II cumprimentava assim os peregrinos no primeiro Encontro Mundial de Famílias na Praça de São Pedro. Aquele ano foi proclamado pela ONU como “Ano Internacional da Família”, e o Pontífice polonês queria que o “Ano da Família” fosse celebrado simultaneamente na Igreja. Entre as iniciativas, houve a do Encontro Mundial, realizado em Roma, nos dias 8 e 9 de outubro. Foi o Pontifício Conselho para a Família (hoje Dicastério para os Leigos, a Família e a Vida) quem o organizou – assim como todos os encontros seguintes. O tema foi “Família: coração da civilização do amor”.

A tradição continuaria a cada três anos e tocaria várias cidades do mundo. De fato, em 1997, precisamente nos dias 4 e 5 de outubro, foi a vez do Rio de Janeiro, que sediou o segundo Encontro Mundial com o tema: “A família: dom e compromisso, esperança da humanidade “.

Três anos depois, no contexto do Grande Jubileu de 2000, a Cidade Eterna recebeu novamente famílias de todo o mundo. O terceiro Encontro Mundial das Famílias aconteceu nos dias 14 e 15 de outubro, dedicado aos “Filhos, primavera da família e da sociedade “.
Três anos depois, em 2003, João Paulo II não conseguiu estar fisicamente presente no quarto Encontro, que acontece nos dias 25 e 26 de janeiro em Manila, mas participou através da conexão televisiva. “Estou com vocês com o pensamento e a oração, amem-se famílias das Filipinas e de muitas regiões da terra”, disse ele aos participantes chamados a refletir sobre “A Família Cristã: uma boa nova para o terceiro milênio”.

O quinto Encontro Mundial das Famílias foi realizado em Valência, nos dias 8 e 9 de julho de 2006. Este foi o primeiro que contou com a presença do Papa Bento XVI; o tema foi “Transmissão de fé na família”. Nos dias 17 e 18 de janeiro de 2009, o Encontro ocorreu na Cidade do México, sobre o tema “A família, formadora de valores humanos e cristãos”, mas o Santo Padre participou pela televisão. O Papa Bento XVI estava presente no ano de 2012, em Milão, nos dias 2 e 3 de junho, com o tema: “A família – trabalho e festa”.
Em 2015, nos dias 26 e 27 de setembro, na Filadélfia, occoreu o sexto Encontro Mundial das Famílias, intitulado: “O amor é nossa missão, a família plenamente viva”; é o primeiro do qual o Papa Francisco participou.

O nono Encontro Mundial acontece em Dublin, nos dias 22 a 26 de agosto de 2018, sobre o tema escolhido pelo Papa: “O Evangelho da família: alegria para o mundo”, no contexto da exortação apostólica pós-sinodal “Amoris Laetitia”, coordenada pelo novo Dicastério para os Leigos, a Família e a Vida, presidido pelo Cardeal Kevin Farrell.

La lettera del vescovo Ricciardi sulla cura pastorale delle persone malate

«Non esitare a visitare un malato, perché per questo sarai amato». Parte da questo versetto del Libro del Siracide la lettera che il vescovo Paolo Ricciardi, delegato per la Pastorale sanitaria nella diocesi di Roma, ha scritto ai sacerdoti sulla cura pastorale delle persone malate. Un testo che, ammette il presule, «era già pronto da tempo, almeno da Natale scorso», ma che poi ha ripreso in mano e aggiornato a seguito della pandemia.

«Come sappiamo è accaduto l’imprevedibile – ricorda –. Il coronavirus che, da febbraio 2020, ha deciso di farsi un viaggio per il mondo, scegliendo come seconda tappa dopo la Cina, il nostro Paese, ha messo tutti in grande difficoltà, compresi noi sacerdoti. Improvvisamente abbiamo fatto tutti quanti i conti con la malattia o con la paura di essere contagiati. Abbiamo ascoltato storie, visto immagini, sentito persone che ci hanno fatto riflettere, commuovere, piangere. Abbiamo appreso con tristezza della morte di tanti confratelli, alcuni dei quali hanno veramente dato la vita per gli altri».

Ma gli ammalati e i sofferenti ci sono sempre stati. «Questo periodo “straordinario” della storia – si legge infatti nella lettera – ci ha ricordato che, nell’ “ordinario” della vita, la malattia è sempre dietro l’angolo e che non c’è comunità in cui non ci siano persone malate o isolate, che meritano tutta la nostra attenzione sempre, non solo nei momenti di difficoltà per tutti». Ecco, allora, il consiglio ai sacerdoti di «conoscere bene il gregge» che viene loro affidato, avendo cura in particolare delle pecore più deboli. «Nell’arco del mio sacerdozio – racconta il vescovo nella missiva – ho fatto tesoro della testimonianza di tanti confratelli che si sono dedicati ai malati con fedeltà e tenerezza, ricordandomi che chi è padre ha un’attenzione privilegiata per i figli che sono nella debolezza fisica e spirituale».

«Andarli a trovare, in casa e, se possibile, in ospedale – elenca monsignor Ricciardi –, informarti sul loro stato di salute, telefonare per far sentire la tua vicinanza, è un aspetto primario della vita pastorale di un sacerdote, in particolare di un parroco. Oltre ad essere un’opera di misericordia, è un “restituire” un dono a chi, mentre soffre, si offre. Si sa, la vita parrocchiale ci prende in tanti aspetti quotidiani ed il tempo è sempre poco, e a volte si rischia, in particolare con i malati, di delegare questo servizio ad altri, dimenticando poi le nostre responsabilità…».

Quindi qualche consiglio pratico. «È bene riservarsi almeno una mattina a settimana per la visita dei malati. D’accordo con i ministri straordinari della comunione, si passerà nelle case con loro, o al posto loro. Nelle parrocchie dove i malati sono molti, è bene dividersi le zone a seconda del numero dei sacerdoti, fermo restando che il parroco cercherà di passare periodicamente da tutti. La visita non è importante solo per i malati, ma anche (a volte soprattutto) per i familiari, per chi si prende cura di un marito, di una moglie, dei genitori, di un figlio». Importante poi che il pensiero per i malati sia vivo nella comunità parrocchiale, ricordandoli sempre durante le celebrazioni e riservando un giorno al mese in cui celebrare, a livello parrocchiale, una giornata mensile del malato.

Leggi il testo completo della lettera

24 luglio 2020

«Aprirsi a nuove forme di presenza ecclesiale»: la lettera della presidenza della Cei ai vescovi

«Lavorare insieme per porre le condizioni con cui aprirsi a nuove forme di presenza ecclesiale». È questo l’invito che la Presidenza della Cei rivolge in una lettera ai vescovi, in vista della ripresa autunnale delle attività pastorali, «necessariamente graduale e ancora limitata dalle misure di tutela della salute pubblica, alcune delle quali legate a valutazioni regionali».

Nel rinnovare la «riconoscenza ai sacerdoti e ai catechisti per la generosa e creativa disponibilità con cui, anche in questi mesi difficili, hanno saputo mantenere i contatti con le persone, in particolare i ragazzi e le loro famiglie, ricorrendo ampiamente all’uso dei mezzi digitali», la Presidenza evidenzia ora l’urgenza «di progettare, con le dovute precauzioni, un cammino comunitario che favorisca un maggior coinvolgimento dei genitori, dei giovani e degli adulti, e la partecipazione all’Eucaristia domenicale».

La lettera, frutto della riflessione maturata nell’ultima riunione della Presidenza, si sofferma sul ritorno alla celebrazione dell’Eucaristia con il popolo, «segnato anche da un certo smarrimento (in particolare, una diffusa assenza dei bambini e dei ragazzi), che richiede di essere ascoltato».

«Occorre un saggio discernimento per cogliere ciò che è veramente essenziale», osserva la Presidenza per la quale «la consegna della nuova edizione del Messale Romano sarà un’opportunità preziosa per aiutare le comunità cristiane a recuperare consapevolezza circa la verità dell’azione liturgica, le sue esigenze e implicazioni, la sua fecondità per la nostra vita».

Quanto alla celebrazione dei sacramenti, «a partire da quelli dell’iniziazione cristiana», la lettera ricorda che «non ci sono impedimenti a celebrare con dignità e sobrietà». «È bene – si raccomanda – aver cura che la loro celebrazione, pur in gruppi contenuti, avvenga sempre in un contesto comunitario». Per la Cresima, «oltre ad assicurare il rispetto delle indicazioni sanitarie, in questa fase l’unzione può essere fatta usando un batuffolo di cotone o una salvietta per ogni cresimando». La stessa attenzione «sarà necessaria per le unzioni battesimali e per il sacramento dell’Unzione dei malati».

Mentre si attendono dal Ministero dell’interno indicazioni per un ritorno dei cantori e dei cori, «la possibilità dei familiari di partecipare insieme alle celebrazioni, stando in uno stesso banco, trova risposta positiva nella prassi della vita quotidiana». Circa la richiesta di poter derogare al numero delle 200 persone nei luoghi chiusi, il Comitato tecnico-scientifico affida la decisione alle Regioni.

Per ciò che concerne le attività pastorali per i ragazzi, gli Uffici catechistici, coordinati da quello nazionale «stanno lavorando per favorire e sostenere il loro impegno in un discernimento comunitario che porti a scelte operative adeguate, non ispirate dal si è sempre fatto così, ma dalle possibilità che il tempo attuale offre».

Il tempo che stiamo vivendo, «con le sue difficoltà e le sue opportunità, ci chiede di non restringere gli orizzonti del nostro discernimento e del nostro impegno semplicemente ai protocolli o alle soluzioni pratiche», suggerisce la Presidenza sottolineando che l’attuale situazione storica «invoca un nuovo incontro con il Vangelo, in particolare con l’annuncio del kerygma, cuore dell’esperienza credente».

«Se davvero l’esperienza della pandemia non ci può lasciare come prima – conclude lettera – la riunione autunnale del Consiglio Permanente e l’Assemblea Generale (prevista a novembre) dovranno essere eventi di grazia, nei quali confrontarci e aiutarci a individuare le forme dell’esperienza della fede e, quindi, le priorità sulle quali plasmare il volto delle nostre Chiese per il prossimo futuro».

24 luglio 2020

A San Saturnino un evento dedicato a santa Edith Stein

«Siamo molto sereni e molto lieti. Naturalmente finora nessuna Santa Messa e Comunione. Forse le celebreremo nei prossimi giorni. Ora stiamo un po’ sperimentando come si può vivere di sola vita interiore». Così scriveva Edith Stein in una lettera consegnata il 4 agosto del 1942 nel suo doloroso cammino verso Auschwitz. Non è solo questo l’aspetto che rende attuale la testimonianza della santa martire compatrona d’Europa. In un incontro che si terrà giovedì 30 luglio alle 21 nella cripta della parrocchia di San Saturnino Martire (piazza San Saturnino) dal titolo “Il genio della donna in tempo di pandemia, introduzione alla novena di Santa Teresa Benedetta della Croce”, si cercherà di mettere a fuoco tutta la sua attualità.

Temi della serata saranno «la grazia vissuta e diffusa al femminile: l’audacia di Edith Stein, segno ed immagine dell’insostituibile opera della donna nell’attuale crisi socio-economico-sanitaria». Al termine ci sarà una breve introduzione alla novena della santa che ripercorre i 9 giorni che la portarono da Echt (Olanda) alle camere a gas di Auschwitz.

23 luglio 2020

Articoli recenti